Amandine et la punition du sultan

Catégories : Femmes fessées
il y a 8 ans

Avant de décider de se rencontrer ou non, il convient de toujours beaucoup discuter. S’assurer que nos fantasmes, nos attentes, nos envies sont compatibles. Et toujours reviennent les sempiternelles questions sur nos positions, nos instruments, nos jeux de rôles préférés…

Mais l’étrange pirate dont je vais vous parler ne l’entend pas ainsi. Il a institué un étrange rite qui veut que nous fassions connaissance à travers des récits imaginaires… A tour de rôle, l’un de nous deux doit choisir un thème et l’autre doit inventer l’histoire correspondante. De la pure improvisation, sans préparation puisque l’on écrit directement sur le forum.

Hier, c’était à mon tour d’écrire l’histoire et le sujet qu’il me fut imposé était « Amandine et le sultan »… Cela m’amusa, même si je n’y connaissais pas grand chose en conte des 1001 nuits ! Voici donc l’histoire inventée pour distraire mon pirate. Elle n’est guère originale, j’en conviens aisément, car je ne suis guère experte dans l’art de l’improvisation. J’y ai ajouté, en rose ou en bleu, les quelques digressions que nous avons pu faire en aparté à l’histoire... et qui rendent le tout un peu plus vivant.

Amandine se trouvait dans la salle commune du harem, en compagnie des autres captives, lorsque les gardes virent la chercher. Elle savait qu'elle avait commis une faute grave et qu’il lui en faudrait payer le prix, à un moment ou à un autre. Mais elle espérait tout de même que ce soit le plus tard possible...

Ce moment était venu à présent. Elle suivit les gardes jusqu’à la grande salle du palais, celle où elle prenait part aux fastueux festins servis les jours de fête. Mais ce jour-là, aucune tenture ne vint lui ravir la vue. Elle ne vit que lui, le Sultan, qui la regardait avancer de son air le plus courroucé. Il était visiblement furieux et elle ne pouvait s’en étonner. Elle avait désobéi à la plus importante des règles qui régissaient le Harem. Elle avait voulu s'échapper, pour quelques heures, le temps de visiter le souk et d'en apprécier tous les délices.

Elle n'y était jamais allée, ce lieu lui était interdit. Mais les servantes lui en avaient parlé, ventant les milles et une merveilles que l'on pouvait y admirer. Les couleurs, les senteurs, tout y était un enchantement des sens... Elle avait donc décidé de gagner sa liberté, pour quelques heures à peine. Mais la malchance voulu qu’elle tomba nez-à-nez avec un garde au moment même où elle franchissait le mur d’enceinte. Elle ne se fit aucune illusion sur la suite que l’on donnerait à cette histoire. Le garde avait le devoir d’en informer le Sultan et, malgré ses supplications, il ne faillirait pas.

Arrivée devant le sultan, Amandine s’agenouilla comme le voulait le protocole. Elle baissa les yeux et attendit sa sentence. Mais le sultan ne l’entendait pas ainsi. Il voulut savoir la raison exacte qui l’avait conduite à vouloir s'échapper du palais. Mais aucun son ne parvenait à franchir les lèvres de la captive. Ayant du mal à contenir sa colère, le sultan la gifla v i o l emment mais rien n’y fit, Amandine restait muette.

  • Va chercher la badine, lui ordonna-t-il.

Elle s’exécuta à contrecœur. Elle craignait cet instrument plus que tout autre mais elle était malgré tout soulagée de quitter, l’espace d’un instant, l’atmosphère oppressante qui régnait dans la grande salle du palais.

Lorsqu’elle y revint, l’instrument en main, le sultan se leva et vint à sa rencontre. Son regard était noir. Il était furieux, visiblement. Il lui demanda une dernière fois d’avouer précisément les circonstances de sa faute, mais Amandine restait tout aussi muette.

  • Très bien, dans ce cas tu sais ce qu’il t’attend! Soulève le voile de ta jupe et dénude tes fesses pour la badine.

Elle s’exécuta et se mit en position, comme il le lui avait déjà appris à faire par le passé. Cinq coups secs s’abattirent sur ses fesses, y laissant cinq belles stries bien nettes. Amandine ne put refouler les larmes qui lui montaient aux yeux au moment où elle se releva.

  • Tu es décidée à obéir, maintenant ? lui demanda le Sultan

Elle l’était, bien évidemment. Elle lui raconta tout, de son envie irrépressible de sortir, de voir, de toucher, de humer tout ce qui lui était habituellement interdit.

  • Mais tu te rends compte à quel point cela est dangereux? Il y a des voleurs et des brigands partout dans le souk!

Les larmes d’Amandine redoublèrent. Elle sentit la honte l'envahir lorsqu'elle commença à réaliser l'erreur qu'elle s'était apprêtée à commettre et les conséquences que cela aurait pu avoir.

  • Très bien, tu sais ce qu’il t’attend maintenant! Tu vas être punie comme tu le mérites. Va dans ta chambre, déshabille-toi et agenouille-toi au coin en attendant ma venue.

Le cœur d’Amandine battait à tout rompre. Le moment fatidique était arrivé et elle devait y faire face. Son ventre lui faisait affreusement mal mais elle se dépêcha de rejoindre sa chambre où elle se dénuda et attendit sagement son destin, dans la position imposée. Le sultan ne fût pas long à venir. Lorsqu’il ouvrit la porte, Amandine crut que son cœur s’arrêtait de battre. Mais non, elle respirait encore...

  • Viens ici, lui dit le sultan en tirant une chaise au milieu de la pièce.

Amandine savait qu’elle n’avait pas le droit de le regarder quand elle était punie. C’est donc en gardant les yeux rivés au sol qu’elle s’approcha du Sultan et vint s’agenouiller devant la chaise où il avait pris place.

  • Demande ta punition!

Non! Cela lui était impossible. Il ne pouvait pas exiger cela d’elle!

  • Demande ta punition tout de suite! gronda-t-il

Mais aucun son ne parvint à sortir des lèvres d’Amandine.

  • Très bien, puisque décidément tu ne veux pas obéir ce soir, tu auras droit à un complément de 50 coups de martinet après ta fessée.

« 100 coups! »

« Quoi, 100 coups? Mais non, c’est juste un complément … »

« 200 coups… tu veux continuer? »

« Mais arrête, avec les 50 coups ses fesses seront déjà zébrées de haut en bas, ça suffit …»

« Alors la punition sera étalée sur une semaine, mais elle les recevra, ses 200 coups. »

« une fessée chaque soir de la semaine, ça te va ? »

« et une semaine de cachot…»

« mais il n’y a pas de cachot dans les palais orientaux! »

« si tu continues à argumenter, elle devra faire le tour de la cours du harem après chaque fessée, toute nue, avec un écriteau "punie pour désobéissance" dans le dos! »

«Et bien, ce sont les gardes qui vont être contents! »

« Oui, très heureux!»

« J’échange ça contre une fessée chaque matin (en plus de celle du soir…) »

« Non, ça ne suffit pas, il faut quelque chose en plus de la fessée »

« Un gros câlin? »

« Non!»

« Bon de toute manière t’arrêtes parce qu’ici c’est MON histoire et ce sera 50 coups de martinets...»

« Bon d'accord, continue.»

Amandine se releva. Le sultan l’agrippa par la taille et la fit plier sur ses genoux. Il commença à la fesser durement. Aucun échauffement préalable, il voulait cette fessée marquante. Elle devait comprendre la leçon et ne jamais recommencer, jamais ! La rafale s'abattait depuis plusieurs minutes lorsque la douleur devint si insupportable qu'Amandine ne put se retenir d'interposer sa main.

  • Relève-toi, lui ordonna le Sultan, et va chercher le cordon qui se trouve dans le tiroir de ta table de nuit.

Amandine s’exécuta, ramena le morceau de corde et le tendit au Sultan. Celui-ci la fit se retourner.

  • Donne-moi tes mains !

Elle rassembla ses mains derrière son dos et il les lui attacha solidement.

  • Tu sais quel est le coût d’un tel geste, n’est-ce pas ?

  • Oui, répondit-elle d'une voix blanche.

  • Je veux que tu le dises à haute voix !

  • 20 coups de ceinture, répondit-elle dans un souffle.

  • Bien, je vois que tu t’en souviens. Reprends la position!

Elle reprit place sur les genoux de son t o r t i o n n a i r e et la fessée reprit de plus belle. Elle avait beau battre des jambes, essayer d'incliner son derrière de droite ou de gauche, rien n’arrivait à soulager la douleur intense qu’elle ressentait à présent. Quand l’ensemble de son fessier eut viré au rouge écarlate, le sultan arrêta là le châtiment.

  • Retourne au coin!

Amandine retourna s’agenouiller au coin. Ses larmes coulaient en flots continus. Elle n’avait plus une once de rébellion en elle, plus aucune envie autre que prenne fin cette terrible punition.

Le sultan s’avança vers le bureau et en balaya, d’un revers de la manche, toutes les feuilles qui y étaient dispersées. Il ouvrit l’un des tiroirs et en sortit le martinet au manche doré dont l’usage était réservé à sa belle rebelle.

  • Viens ici, lui ordonna-t-il

Amandine se dirigea vers le bureau, m o r t ifiée.

  • Dis-moi ce que tu mérites maintenant, et pourquoi tu le mérites.

  • Je mérite 50 coups de martinet parce que j’ai refusé de vous obéir et de vous demander ma punition.

  • Bien, je vois que tu es revenue à de meilleures dispositions... Prends-place maintenant!

« Hé, mais tu dors? »

« Non, je t’écoute »

« Tu aurais dû dire que c’était 100 et non 50! Ah la la, il faut tout te dire à toi… »

« Je prends note de ton insolence! Tu sais que tu devras m’en rendre compte, tôt ou tard… »

« Oups, je reprends l’histoire… »

Amandine se pencha sur le bureau et attendit que les lanières viennent meurtrir ses chaires déjà bien malmenées. Les cinquante coups s’abattirent, par série de dix, le sultan lui laissant le temps de reprendre son souffle entre chaque série. L’esprit d’Amandine s'était envolé dans un autre univers et elle ne réalisa pas immédiatement que le dernier coup avait été donné. Elle restait courbée sur le bureau, les mèches de ses cheveux collées sur son visage baigné de larmes.

  • Relève-toi et va t’allonger sur le lit!

Elle s’exécuta sans réaliser vraiment ce qu’elle faisait. Elle voulait que tout cela se termine, rien d’autre ne comptait…

Une fois allongée, le sultan lui proposa de lui défaire les liens qui lui entravaient les mains mais elle refusa. Elle avait bien trop peur de ne pouvoir s’empêcher de porter à nouveau ses mains à ses fesses ! Il lui ordonna alors d’écarter les jambes afin qu’il puisse y glisser sa main. Comme il s’y attendait, Amandine était trempée… Il la sermonna de nouveau. Elle était punie, elle n’avait aucun plaisir à prendre là-dedans!

  • Tu devrais avoir honte!

  • Mais j’ai honte, lui répondit-elle entre deux s a n g lots. Mais je n'arrive pas à le contrôler…

Le sultan fit claquer sa ceinture, avant de l’abattre sèchement sur le derrière de la pauvre petite. Les coups s’abattirent lentement, il voulait qu’elle perçoive l’effet de chacun d'entre eux. Amandine hoquetait bien avant que le dixième coup ne fût donné. Au quinzième, il lui ordonna de compter les derniers coups restants.

« A haute et intelligible voix! »

« Oui »

Amandine fit un effort surhumain pour arriver à contrôler sa voix mais réussit, tant bien que mal, à compter les cinq derniers coups restant. Il lui semblait que toute f o r c e s’était échappée de son corps, qu’elle n’était plus qu’une simple poupée de chiffon étendue là sur le lit.

Le sultan la contemplait. Il ne l’avait jamais corrigée aussi fortement et il était impressionné de son endurance. Mais sa faute aurait pu avoir de graves conséquences et il fallait qu'elle comprenne la leçon. A présent, il se rendait compte qu’elle n’avait plus ni f o r c e ni résistance, et qu’il était grand temps de lui pardonner. Il la prit dans ses bras et lui fit promettre de ne plus jamais désobéir, ce qu’elle fit en toute sincérité! Il la berça doucement pendant de longues minutes, le temps que ses douleurs s’estompent et qu’elle retrouve un peu de f o r c e . Il s’allongea auprès d’elle et lui fit tendrement l’amour. Il ne voulait plus lui faire le moindre mal. Cette nuit, elle serait la seule femme du Harem à trouver place dans son cœur...

« mon côté fleur bleue du vendredi soir… »

« voilà, voilà… »

« J’ai envie de te faire l’amour, Amandine »

Et cette nuit-là, à des milliers de kilomètre du moindre palais oriental, une autre Amandine s’endormit en souriant…

Auteur : Amandine

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